La propriété est entourée d'un grand terrain (2 ha et demi) composé d'une part de bois de chênes et chataigniers (au-dessus des maisons) et d'autre part de champs (le petit en-dessous du chemin d'accès, le grand au sud de la maison). 

Le grand champ est fauché une fois par an par un voisin. Au printemps, de nombreuses fleurs des champs nous permettent de composer de jolis bouquets champêtres. En août, on peut y cueillir des mûres en abondance ou encore, dans la partie supérieure du terrain, du raisin qui nous rappelle que ce champ était couvert de vignes il y a cinquante ans.

 

 
 

Le petit champ était à la même époque réservé à la culture des fraises.  Il accueille aujourd'hui la piscine .

Nous adorons les figues et avons planté différentes variétés de figuiers dont la production s'étale de juillet à septembre.

 

 

Une vigne ombrage la terrasse. Le raisin blanc peut déjà être consommé fin juillet si l'été est beau et sec.

 
 

Il n'est pas évident de trouver des plantes supportant la sécheresse, le froid hivernal et l'absence d'un jardinier. L'arrosage automatique installé lors de la restauration devrait améliorer considérablement l'aspect de nos plantations : lilas, rosiers, lavandes, hibiscus, lauriers-roses, roses trémières, glaieuls, orangers du Mexique, budleia, faux curry, cystes et autres plantes dont j'ai oublié le nom.

 
 

Notre propriété n'est pas occupée à plein temps et les animaux sauvages gardent leurs habitudes.  Nous trouvons les traces du passage de sangliers et de cervidés dans le grand champ.  J'ai eu le plaisir d'observer un jeune daim venu se nourrir face au séchoir.  Les lézards pullulent.  On entend le pic le jour ( nos volets en gardent de multiples preuves) et la chouette la nuit.

Notre amie québecoise, Louise, nous a communiqué le goût de nourrir les oiseaux en installant de petites mangeoires.  C'est un réel plaisir de suivre le ballet incessant des rouges-gorges, des mésanges ou des sitelles torchepot comme sur la photo.